29.12.13

Starlight by Deborah Lippmann, le kit ultime de vernis à paillettes pour les fêtes !


Comme vous le savez « Deborah Lippmann » rime avec paillettes et pour noël et les fêtes de fin d’année, la reine dans le domaine a dégainé pour l’occasion un set de six précieux flacons contenant tous des vernis à paillettes. Portant le doux nom de « Starlight » ce coffret ne pouvait que présenter des textures scintillantes, profondes et des associations uniques. Comme j’aime les paillettes et n’ai jamais été déçue par la « Queen of glitters » j’ai recherché sans relâche ce bel objet sur internet et me le suis procuré le plus rapidement possible ! Aujourd’hui après l’avoir définitivement adopté je vous en fais la présentation.



Contenant six teintes différentes aux textures allant du top coat aux légères et fines paillettes  au vernis à la texture plutôt sablée et rugueuse ce coffret peut satisfaire les envies de pas mal de nail polish addicts. On trouve des teintes champagne et argentées parfaites pour les fêtes de fin d’année et pour la saison hivernale, des combinaisons de paillettes plus colorées et vibrantes ainsi que deux coloris plus sombres et mats pouvant tout de même prouver leur diversité grâce à un top coat. 


Je commence la présentation de ces merveilles plus en détail avec la teinte « Twilight tone » un vernis noir sablé constellé de plusieurs paillettes hexagonales holographiques rendant plus lumineuse sa texture matte et sablée. Ce n’est pas par nature le type de texture que j’affectionne alors je préfère personnellement l’habiller d’une couche de top coat pour lui donner plus de profondeur. Concernant sa tenue si vous décidez de le conserver dans sa version matte elle sera bien entendu plus courte qu’un vernis classique. Au niveau de l’opacité je recommande deux couches plutôt fines afin de bien obtenir la pigmentation souhaitée. 

Twilight Tone - Deborah Lippmann
Twilight Tone - Deborah Lippmann (Avec Top coat)
Arrive ensuite le lumineux « Blinded by the light » un vernis à la base transparente dans laquelle baignent de très fines paillettes argentées ainsi que de plus larges hexagonales holographiques. Posé seul le vernis peu faire son effet mais je recommande tout de même de l’associer soit à une couleur claire du type blanc ou crème pour apporter de la lumière de façon subtile et discrète ou avec des teintes beaucoup plus foncées pour créer un vrai contraste. Le vernis se réparti de manière plutôt équitable sur l’ongle et n’à pas la texture parfois pâteuse que peuvent avoir ce type de flacons. 

Blinded by the light - Deborah Lippmann 
Le plus coloré et le plus voyant des vernis du coffret est « Cosmic Love », un vernis à la base transparente légèrement rosée et aux paillettes hexagonales bleues, rouges et or rendant parfois au mélange un aspect général plutôt rosé. Comme pour son prédécesseur la répartition des paillettes est plutôt bonne et le pinceau fin permet de bien positionner ces dernières en cas d’application plus précise. Selon le rendu que vous souhaitez obtenir vous pouvez appliquer jusqu’à deux couches sur une base noire ou bleutée. 

Cosmic Love - Deborah Lippmann
L’un de mes favoris de ce set est « Fantastic Voyage » un vernis à la base légèrement bleutée très transparente et constellé de paillettes (petites et plus grandes hexagonales) bleues, dorées et holographiques.  Appliqué sur une base bleue plutôt sombre ou seul en multipliant les couches il peut réellement faire sensation et malgré sont lot de paillettes n’agresse pas les yeux. Comme pour ses compagnons précédents il se repartit de façon très simple et égale et deux couches sont optimales pour faire ressortir la beauté des paillettes et  le vernis que vous aurez décidé de poser en base. 

Fantastic Voyage - Deborah Lippmann
Le plus girly et finalement le plus sobre de cette collection est « Champagne Supernova ». Comme son nom l’indique il possède une teinte champagne tirant vers le rosé et comme « Blinded by the light » est composé de très fines paillettes champagne ainsi que de plus grandes hexagonales et holographiques. Je l’apprécie particulièrement posé sur une base nude afin de faire ressortir cet aspect délicat propre à cette couleur. 

Champagne Supernova - Deborah Lippmann
Enfin dernier vernis du lot, le « Lost in Space » une teinte bleutée plutôt sombre habillée de paillettes rondes plutôt fines et holographiques. Comme le tout premier vernis de ce set sa texture est sablée et son rendu mat. Encore une fois je recommande d’appliquer deux couches pour une bonne opacité et une pigmentation décente. 

Lost in space - Deborah Lippmann
Lost In Space - Deborah Lippmann (Avec Top coat)
Dans sa globalité j’ai beaucoup aimé ce coffret (tant recherché dès les premiers visuels lâchés en pâture sur le web) qui propose un camaïeu de coloris et de textures varié et pouvant correspondre à tout type de personnes. Ce que j’apprécie d’autant plus dans ce coffret est que les paillettes n’étant pas par nature discrètes peuvent ici être utilisées plutôt facilement tout au long de l’année et avec plusieurs bases faisant généralement partie de la plupart de nos collections. 

Enfin, le dernier et ultime détail faisant son succès chez moi, les vernis n’ont pas été un calvaire à retirer. Je pose bien sûr une base particulière pour les paillettes au préalable, mais si je peux rencontrer quelques difficultés avec certains vernis tout en utilisant cette même base je n’en ai pas rencontré avec les vernis de ce set, pas plus de quelques secondes on été nécessaires pour tout retirer. 


Pour vous le procurer, si j’ai réussi à vous séduire à l’aie de cet article, il vous faudra malheureusement le dénicher sur Ebay ou amazon car le set est uniquement vendu aux Etat-Unis (vous pouvez par ailleurs l’acheter sur le site officiel de la marque en utilisant Shipito). Comme vous le savez probablement les vernis Deborah Lippmann ne sont pas nécessairement les plus abordables puisqu’ils coûtent en moyenne 16€, ici le set se compose de six vernis en taille réduite vis-à-vis des flacons habituels (8ml contre 15ml) pour une valeur de 49$ au total. 

Son prix : 49$

18.12.13

Plumes et paillettes = Manucure de fête !


Depuis quelques semaines j’ai comme la plupart d’entre nous envie de paillettes !  Les fêtes de noël, l’emballage des cadeaux dans des papiers brillants et colorés, les éclairages lumineux sur tous les balcons et dans les rues… bref tous ces appels multicolores appellent forcément de la couleur et de la brillance sur mes ongles. J’ai donc décidé de sortir quelques uns de mes vernis favoris et tenté de produire une manucure à la fois douce et festive pour habiller mes ongles. 


Pour apporter cet aspect tendre et moins agressif à la manucure pailleté j’ai décidé de poser une base claire et neutre. J’ai choisi le lumineux « Cookies and cream » reçu l’an dernier dans mon calendrier de l’avent Ciaté, il s’agit d’un beige tendre aux sous-tons jaunes plutôt peu opaque.  Il faut environ deux à trois couches pour une couvrance optimale, je vous recommande donc de vous armer de patience avant d’entamer le reste de votre travail. Même si le vernis sèche assez vite plusieurs couches d’affilé peuvent ralentir le séchage. 



Pour égayer le tout j’ai décidé d’ajouter quelques motifs et surtout des paillettes ! Pour la légèreté une plume (un peu approximative je l’avoue) et pour le graphisme des lignes, des formes, un peu de géométrie (toujours un poil approximative aussi). Et pour tracer le tout, un vernis Peggy Sage bien noir à la pointe très fine permettant libre cours à ma créativité. 


Mais il ne nous manque pas la partie la plus importante là ? Ben oui, les paillettes ! Ces petites particules colorées ont pris place sur mes ongles à l’aide du désormais très connu et habituel « Boom Boom Pow » de Deborah Lippmann un vernis à la base transparente constellé de fine particules d’or et de plus grandes paillètes hexagonales.  Je l’ai appliqué sur le petit doigt pour éclairer les motifs géométriques et sur l’ensemble de mes doigts pour apporter de la vivacité. 



Enfin j’ai déposé une touche de vernis argent métallisé de Peggy Sage pour définir les plumes puis ajouté du vernis pailleté or toujours de Peggy Sage pour égayer les plumes. Une bonne couche de top coat et pouf, votre manucure de fête est terminée ! Vous pouvez désormais vous promener dans la jungle urbaine à la conquête de nouveaux territoires ! 


Plus le dessin de la plume, rien de plus simple, il vous suffit de tracer en premier lieu la « ligne » centrale de votre plume puis de dessiner la plume en ajoutant des traits fins sur les bords de votre ligne. Vous pouvez ainsi définir votre plume que vous l’entendez : plutôt épaisse à sa base, irrégulière, aérienne, vous avez entièrement le choix ! 


J’espère que cette manucure aura su vous convaincre tout comme j’ai aimé la porter !


15.12.13

Pink Velvet de Lime Crime, le rouge a levre qui met Nicki Minaj au tapis !


Il est enfin là ! Le dernier né des rouges à lèvres de Lime Crime a débarqué en grande pompe dans ma boite aux lettres et dans ma salle de bain pour le plus grand bonheur de mes lèvres et de mes rétines. Toute nouvelle teinte dans la gamme des Velvetines il a fait un malheur sur internet dès l’annonce de son imminente sortie et au moment de son lancement. Comme à chaque fois le site a planté et ce fut la troisième guerre mondiale pour m’en procurer un exemplaire, heureusement j’y suis parvenue et je vous fais aujourd’hui la présentation de mon butin. 



Le « Pink Velvet » comme son nom l’indique plutôt clairement est donc constitué d’une couleur rose plutôt pas très discrète. Situé entre le rose fushia et un rose presque néon il se fait remarquer assez facilement sur votre visage et demeurera pour votre journée le point « fort » de votre maquillage. Dans la même lignée que ses prédécesseurs le « Pink Velvet » est entièrement mat et n’est pas destiné à refléter la lumière, c’est d’ailleurs tant mieux tant la couleur en elle même est déjà très dynamique. 


L’utilisation est toujours la même, le produit se présente comme un gloss avec un embout en mousse capturant le rouge à lèvre liquide. Je recommande par ailleurs de bien dessiner le contour de vos lèvres avant d’appliquer le « Pink velvet » sa matière étant plutôt fluide et donc très instable pour un contour net et précis (surtout en cas d’application du produit à la va vite). Une fois au contact des lèvres le produit sèche quasiment instantanément vous permettant de reprendre le cours de votre vie sans vous attarder. Le séchage étant justement très rapide il faut être préparée pour effectuer des retouches, je vous invite donc à garder près de vous un coton tige et un peu de démaquillant au moment de le poser. 


Pour la tenue je ne peux que crier gloire à Lime Crime qui a su développer un produit vegan, beau et qui tient toute la journée. Une fois sec le rouge à lèvre ne décolle plus de vos lèvres et vous pouvez boire, manger, embrasser sans craindre le moindre transfert de produit ou de vous retrouver avec le terrible contour des lèvres des années quatre-vingt. Si je devais vous donner un conseil pour garantir la meilleure tenue ce serait d’éviter les aliments en sauce ou huileux, baignant dans une matière grasse en général lorsque vous le portez puisqu’il participent au retrait du produit et peuvent éventuellement vous pousser à faire des retouches. 


Puisqu’on en vient à la phase délicate du retrait du produit pour le démaquillage rien de plus simple, un coton, un démaquillant biphasé ou de l’huile démaquillante et en général le rouge à lèvre se fait la malle aussi rapidement que le temps de dire « Velvetine ». 


J’ai voulu comparer le dernier arrivé dans ma collection à ses compères rouges et orangés pour évaluer le degré de pespitude (oui du mot pep’s) du Pink Velvet. Après quelques tests je note qu’il fait un sacré concurrent au « Suedeberry » s’inscrivant lui dans la gamme des rouges orangés. Tout aussi mat que ses compagnons il fait une très belle arrivée dans ma collection de rouge à lèvres mats et je vais me faire une joie de le porter au quotidien. 

Dans l'ordre "Suedeberry", "Pink Velvet", "Red Velvet" 

Pour celles qui se trouveraient encore un peu frileuses d’arborer une teinte aussi vive je vais tenter de vous rassurer en vous garantissant que son aspect mat et sa couleur fushia le rendent tout à fait portable dans la vie de tous les jours. Pour harmoniser le reste de votre maquillage avec le « Pink Velvet » je vous recommande de ne pas charger les yeux et de choisir un maquillage lumineux avec un léger trait d’eyeliner, des joues fraiches et légèrement rosées et vous êtes prêtes pour jouer les poupées hors de chez vous. 

Je porte le fard Ricepaper de Mac, un trait d'eyeliner et Pink Velvet 
Pour vous procurer ce très bel objet, direction le site de Lime Crime où se trouvent également d’autres jolies et tentantes créations !

Son prix : 20$

24.11.13

New York Diaries #1 : Entre pop culture urbaine et architecture hors du commun.

Je vous en parle de temps en temps et très brièvement à travers quelques articles beauté mais je reconnais ne pas avoir consacré un réel article à mon voyage estival dans le pays de l’oncle Sam. C’est désormais chose faite et je vais tenter de vous raconter en quelques clichés mon expédition familiale et merveilleuse à New York ville de tous les fantasmes.  Qu’ils soient matériels (oh magasins par milliers), alimentaires (ne nous voilons pas la face leurs gâteaux sont divins, gras mais divins), culturels (monuments et musées superbes), architecturaux, New York demeure une mégalopole fascinante et hors du commun. 

Mais la chose la plus folle au sujet de la grande pomme c’est que toutes les cultures et les univers s’y mêlent, on passe de zones urbaines aux buildings gigantesques à de plus petits quartiers peuplés de verdure, de vrais oasis de calme. Toutes les nationalités s’y assemblent, du quartier chinois à la petite Ukraine il n’y a qu’un pas et aussi surprenant soit-il même en y ayant jamais mis les pieds on se sent très vite chez soi à New York. Une impression de déjà-vu peut facilement vous gagner vous remercierez pour cela les nombreux films et séries s’y déroulant. 

Dans ce premier article je vais faire de mon mieux pour vous faire vivre mes journées à travers cette magnifique ville en essayant de vous faire ressentir toute sa force, son excentricité architecturale et sa vivacité. 

J’ouvre le bal avec Time Square lieu de toutes les excentricités et visage emblématique du capitalisme américain. Panneaux publicitaires par milliers, façades de buildings entièrement dissimulées par des écrans lumineux, boutiques par centaines et foule continue dans les grandes artères ; Times Square représente un véritable temple du shopping et capture l’essence même de New York, ici les paroles « The city that never sleeps » prennent tout leur sens. 




Dans les boutiques le même sens de l’extravagance est présent, je retiendrais pour toujours l’immense magasin Toys’r’us dans lequel trône une grande rouge constituée de voitures reprenant les codes de grands jouets pour enfants : Barbie, Poly Pocket, Barbapapas… Les autres étages ne sont pas en reste on y trouve la maison de Barbie, des super héros dans les airs en train de retenir des voitures tombant du plafond. 



De jour comme de nuit la ville reste sublime et tous ses supports portent des traces artistiques, murs et façades d’immeubles travaillés, statues et créations de métal dans les rues, éclairages et installations lumineuses dans les arbres, tout est fait pour capturer le regard du voyageur. 




Evidemment nous n’avons pas pu passer à côté de certains lieux les plus touristiques mais aussi de ceux que je rêvais de voir en « vrai ». La Statue de la liberté et sa majestueuse flamme, China Town et Little Italy, le Brooklyn Brigde… que de paysages marquants et hors du temps qui vous font vraiment vous sentir dans un univers à part et plus qu’unique. 





Little Italy





Autre lieu extrêmement touristique mais à mon sens inévitable, le fameux quartier de l’Empire State Building. On y trouve des magasins (comme partout dans les rues de New York) et surtout l’un des buildings les plus connus des Etats-Unis le très célèbre Empire State Building ayant pu inspirer pléthore d’artistes et symboles américains. Si l’immeuble en lui même est déjà impressionnant pour sa taille (il est quasiment possible de le voir n’importe où dans New York) ; la vue disponible tout en haut de ce dernier est à couper le souffle. Une fois hissée au sommet de ce monstre de pierres j’ai été impressionnée par l’étendue de la ville se présentant sous mes pieds. On a l’impression, absolument pas fausse, qu’elle se déroule sur des dizaines et des dizaines de kilomètres et que les bâtiments la peuplant tous aussi différents et immense les uns que les autres peuvent vous avaler tout entiers. Voir la ville sous cet angle m’a fait me sentir toute petite et m’a permis de me rendre compte que quoi qu’on en pense New York est vraiment exceptionnelle pour son architecture et son infinité. 





Si j’ai retenu l’architecture et l’immensité des buildings, j’ai aussi remarqué que l’art prenait place dans toutes les rues de la ville. Qu’il soit ancien et faisant partie intégrante de l’histoire de la ville (Statue de la liberté, Atlas) il appartient également aux New Yorkais qui s’approprient les rues et y installent leur propre univers. Il n’est donc pas rare de croiser très régulièrement murs peints, installations temporaires, spectacles de rue…









Je vous laisse profiter de la fin de cet article avec quelques uns des derniers clichés que j’ai eu l’occasion de prendre lors de mon voyage à New York, l’un des plus beaux aspects de la ville dans son habit de lumière. Parce que la nuit n’enlève rien au charme de cette mégalopole mais la sublime et nous laisse constater à quel point les pulsations lumineuses créées par les voitures, les boutiques, les bâtiments lui donnent vie.




Famille de fous ! 


Je vous retrouve dans un prochain article sur New York qui se consacrera à l'aspect plus surprenant que j'ai pu tirer de mon voyage dans cette superbe ville.