24.11.13

New York Diaries #1 : Entre pop culture urbaine et architecture hors du commun.

Je vous en parle de temps en temps et très brièvement à travers quelques articles beauté mais je reconnais ne pas avoir consacré un réel article à mon voyage estival dans le pays de l’oncle Sam. C’est désormais chose faite et je vais tenter de vous raconter en quelques clichés mon expédition familiale et merveilleuse à New York ville de tous les fantasmes.  Qu’ils soient matériels (oh magasins par milliers), alimentaires (ne nous voilons pas la face leurs gâteaux sont divins, gras mais divins), culturels (monuments et musées superbes), architecturaux, New York demeure une mégalopole fascinante et hors du commun. 

Mais la chose la plus folle au sujet de la grande pomme c’est que toutes les cultures et les univers s’y mêlent, on passe de zones urbaines aux buildings gigantesques à de plus petits quartiers peuplés de verdure, de vrais oasis de calme. Toutes les nationalités s’y assemblent, du quartier chinois à la petite Ukraine il n’y a qu’un pas et aussi surprenant soit-il même en y ayant jamais mis les pieds on se sent très vite chez soi à New York. Une impression de déjà-vu peut facilement vous gagner vous remercierez pour cela les nombreux films et séries s’y déroulant. 

Dans ce premier article je vais faire de mon mieux pour vous faire vivre mes journées à travers cette magnifique ville en essayant de vous faire ressentir toute sa force, son excentricité architecturale et sa vivacité. 

J’ouvre le bal avec Time Square lieu de toutes les excentricités et visage emblématique du capitalisme américain. Panneaux publicitaires par milliers, façades de buildings entièrement dissimulées par des écrans lumineux, boutiques par centaines et foule continue dans les grandes artères ; Times Square représente un véritable temple du shopping et capture l’essence même de New York, ici les paroles « The city that never sleeps » prennent tout leur sens. 




Dans les boutiques le même sens de l’extravagance est présent, je retiendrais pour toujours l’immense magasin Toys’r’us dans lequel trône une grande rouge constituée de voitures reprenant les codes de grands jouets pour enfants : Barbie, Poly Pocket, Barbapapas… Les autres étages ne sont pas en reste on y trouve la maison de Barbie, des super héros dans les airs en train de retenir des voitures tombant du plafond. 



De jour comme de nuit la ville reste sublime et tous ses supports portent des traces artistiques, murs et façades d’immeubles travaillés, statues et créations de métal dans les rues, éclairages et installations lumineuses dans les arbres, tout est fait pour capturer le regard du voyageur. 




Evidemment nous n’avons pas pu passer à côté de certains lieux les plus touristiques mais aussi de ceux que je rêvais de voir en « vrai ». La Statue de la liberté et sa majestueuse flamme, China Town et Little Italy, le Brooklyn Brigde… que de paysages marquants et hors du temps qui vous font vraiment vous sentir dans un univers à part et plus qu’unique. 





Little Italy





Autre lieu extrêmement touristique mais à mon sens inévitable, le fameux quartier de l’Empire State Building. On y trouve des magasins (comme partout dans les rues de New York) et surtout l’un des buildings les plus connus des Etats-Unis le très célèbre Empire State Building ayant pu inspirer pléthore d’artistes et symboles américains. Si l’immeuble en lui même est déjà impressionnant pour sa taille (il est quasiment possible de le voir n’importe où dans New York) ; la vue disponible tout en haut de ce dernier est à couper le souffle. Une fois hissée au sommet de ce monstre de pierres j’ai été impressionnée par l’étendue de la ville se présentant sous mes pieds. On a l’impression, absolument pas fausse, qu’elle se déroule sur des dizaines et des dizaines de kilomètres et que les bâtiments la peuplant tous aussi différents et immense les uns que les autres peuvent vous avaler tout entiers. Voir la ville sous cet angle m’a fait me sentir toute petite et m’a permis de me rendre compte que quoi qu’on en pense New York est vraiment exceptionnelle pour son architecture et son infinité. 





Si j’ai retenu l’architecture et l’immensité des buildings, j’ai aussi remarqué que l’art prenait place dans toutes les rues de la ville. Qu’il soit ancien et faisant partie intégrante de l’histoire de la ville (Statue de la liberté, Atlas) il appartient également aux New Yorkais qui s’approprient les rues et y installent leur propre univers. Il n’est donc pas rare de croiser très régulièrement murs peints, installations temporaires, spectacles de rue…









Je vous laisse profiter de la fin de cet article avec quelques uns des derniers clichés que j’ai eu l’occasion de prendre lors de mon voyage à New York, l’un des plus beaux aspects de la ville dans son habit de lumière. Parce que la nuit n’enlève rien au charme de cette mégalopole mais la sublime et nous laisse constater à quel point les pulsations lumineuses créées par les voitures, les boutiques, les bâtiments lui donnent vie.




Famille de fous ! 


Je vous retrouve dans un prochain article sur New York qui se consacrera à l'aspect plus surprenant que j'ai pu tirer de mon voyage dans cette superbe ville. 

17.11.13

La mini palette de nudes à tout faire par Benefit : Easiest nudes ever !

Achetée sur un coup de tête lors d’une virée shopping chez Sephora au cours de mon voyage à New York, l’une des palettes dernières nées de chez Benefit m’a attirée pour son packaging travaillé et adorable, ses couleurs pratiques mais néanmoins remarquables ainsi que son prix (30$ soit 20€ environ). Vite transformée en palette idéale des jours de flemme la « Easiest nudes ever » s’est fait en douce une très jolie place dans mes habitudes beauté lorsque je recherche un maquillage des yeux à la fois simple et sophistiqué en moins de deux minutes. 


Toujours présentés dans un écrin très féminin et rétro les produits Benefit donnent immédiatement envie d’être utilisés, c’est en tout cas toujours l’impression que j’en tire lorsque la marque sort un nouveau produit. Le kit de la gamme « World Famous Neutrals » se compose de quatre fards à paupières principalement bruns ainsi que de deux fards à paupières crème colorés. Idéale pour la plupart des carnations cette palette permet une grande polyvalence de maquillages allant du plus clair et discret au regard sombre et très travaillé. 


On trouve dans ce kit deux fards mats et deux fards irisés permettant une certaine variété de maquillages et d’effets selon les envies et les occasions. On découvre tout d’abord « Call my Buff » un champagne irisé très doux et suffisamment lumineux pour capter la lumière sans faire boule à facette. Toujours dans la famille des neutres on trouve un rose pâle mat « Pinky Swear » que je trouve parfait pour fondre les contours d’un maquillage ou assagir un fard irisé ; je ne recommande toutefois pas de l’utiliser seul sur une paupière sous peine de l’alourdir.   


Les deux autres fards s’ancrent dans des teintes brunes plutôt chaudes, « Thanks a latte » est un brun moyen irisé aux reflets légèrement dorés il peut être parfait sur une paupière mobile complimenté par une teinte plus sombre en coin externe ou utilisé en creux avec un fard plus clair et lumineux. Enfin « Quick, look busy » un brun chocolat mat vient compléter ce quatuor de fards à paupières permettant soit de s’associer à merveille avec « Thanks a latte » pour un maquillage intense ou avec « Call my buff » pour lui apporter plus de sophistication. 

Dans l’ensemble les fards à paupières sont de bonne qualité et ont une pigmentation très agréable, ils s’estompent très facilement même pour les fards mats qui ne sont pas nécessairement les textures les plus simples à travailler. Seul bémol je trouve les fards mats un peu poudreux je recommande donc de bien tapoter votre pinceau contre la surface de votre palette afin de limiter les chutes avant de l’appliquer sur vos paupières. 

La vraie bonne surprise de cette palette et l’une des raisons qui m’a poussée à l’acheter : les deux fards crèmes aux couleurs très douces, lumineuses et parfaites pour un maquillage de tous les jours. L’énorme point positif de ces fards crème ? Ils sont extrêmement faciles à travailler et à estomper, leur texture très fluide permet de bien les étaler sur la paupière sans faire de paquets et de façon très uniforme ; vous l’aurez compris j’ai été séduite ! Trêve de bavardages, je vous présente enfin ces deux produits, on trouve tout d’abord « R.S.V.P » un rose clair irisé plutôt froid, une version plus pigmenté et irisée de « Pinky swear » du même kit. Dernier produit de la palette « No pressure ! » est un brun tirant vers le noisette, irisé et très lumineux il permet de construire un maquillage intense sans être trop sombre pour autant. 


Dans l'ordre : "R.S.V.P", "No pressure !", "Call my buff", "Pinky swear", "Thanks a latte", "Quick, look busy"
Comme il est facile de le constater à la lecture de cet article l’ensemble des fards peuvent s’associer entre eux qu’ils soient d’une nature crème ou poudre. J’aime élaborer avec eux des maquillages simples mais efficaces des matins pressés. Dans cet état d’esprit je vous présente ici trois maquillages que j’ai réalisés à titre d’exemple, j’ai essayé d’utiliser tous les produits afin que vous puissiez vous faire une idée du rendu une fois appliqués sur les paupières. 

Le premier et le plus simple se compose d‘une base lumineuse « Call my buff » appliqué sur l’ensemble de la paupière mobile. J’ai déposé le fard mat brun « Quick  look busy » dans le creux afin de définir davantage le regard et d’apporter plus de relief à l’ensemble tout en restant très simple. 


Plus intense sans nécessiter d’un maximum de technique le maquillage suivant se compose de « No pressure » le fard brun crème  intensifié par un brun plus sombre « Quick, look busy » en coin externe et dans le creux. Pour apporter davantage de lumière j’ai appliqué en très légères touches dans le coin interne et à la base des cils inférieurs « Thanks a latte ». 


Enfin le plus lumineux et le plus féminin des maquillages réalisés avec cette palette se compose de « R.S.V.P » sur l’ensemble de la paupière mobile assagi en coin externe par « Pinky Swear ». J’ai également déposé « Thanks a latte » à la base des cils à l’aide d’un pinceau biseauté afin d’apporter plus de contraste à l’ensemble. 


Le bilan que je fais de cette palette ? C’est l’outil idéal pour vos voyages ou vos weekends on trouve largement de quoi faire pour tout type de maquillages du plus sage ou plus intense ainsi que pour toutes les situations. De même petite et ne prenant pas de place elle contient tout de même trois types de finis permettant une grande variété de looks. Je trouve également qu’elle peut parfaitement convenir aux personnes s’initiant au maquillage, on y trouve de très bon basiques et largement de quoi s’amuser tout en découvrant les ficelles du makeup. 

Alors que vous soyez déjà une grande adepte du maquillage ou bien une récente accro des fards à paupières et autres joyeusetés je vous invite à découvrir très vite ce joli basique. 

Son prix : 32€


14.11.13

Regard doux et romantique avec "Perky" de Mac

J’ai longtemps recherché un joli rose pour habiller mon regard. Il me le fallait à la fois voyant sans être tapageur, doux mais pas fadasse et suffisamment pigmenté pour pouvoir le travailler facilement sans perdre de temps et multiplier les couches de fard à paupières. Si j’ai désormais trouvé mon bonheur à l’aide du pro longwear paint pot dans la teinte « Perky » de chez Mac il faut savoir que trouver la teinte rose claire idéale pour mes yeux n’a pas toujours été très simple. Choisir un rose pâle pouvant sublimer le regard n’est pas chose aisée il peut l'alourdir selon les carnations, accentuer les cernes s’il contient trop de violet ou donner un teint de cadavre s’il est trop froid ; pas la tâche la plus simple donc.


Ce que j’ai aimé du premier coup d’œil avec « Perky » c’était sa couleur à la fois douce et remarquable suffisamment discrète pour être portée quotidiennement et assez colorée pour m’apporter la dose de vivacité que j’aime arborer. De même le paint pot contient des sous tons tirant vers le pêche lui permettant de se fondre subtilement avec le jaune de ma peau. Ce qui le rend vraiment neutre et portable c’est son rendu satiné presque mat lui permettant de se travailler avec tout types de fards à paupières. On peut ainsi oser la couleur et les rendus irisés tout comme donner un aspect neutre et sophistiqué à son regard avec des fards mats bruns ou grisés. 


Si la couleur est très agréable, la pigmentation du paint pot est également très bonne et permet de constituer un maquillage en l’espace de quelques minutes. J’aime travailler la matière au doigt en prélevant un peu de produit que je tapote sur la paupière mobile en l’étirant si nécessaire. Le rendu étant plutôt mat je recommande de rajouter des couches de produit au fur et à mesure pour une répartition égale et bien homogène. Le tout s’estompe très facilement à l’aide d’un pinceau souple, je recommande toutefois de ne pas attendre plus de quelques minutes pour estomper le produit afin qu’il ne sèche pas rendant ainsi la tâche beaucoup plus difficile. 


Au sujet de la tenue j’ai personnellement toujours par habitude, appliqué une base de fard a paupières sous le paint pot, il ne me sera donc pas possible de vous indiquer sa longévité sans cet accessoire. Avec une base type Primer Potion d’Urban Decay la couleur et le produit tiennent sans bouger du début à la fin de la journée sans s’affadir, vous pouvez donc vous permettre d’ajouter sur fard a paupière par dessus sans craindre de voir ce dernier disparaître au fil du temps. 

A titre de comparaison j’ai déposé sur ma peau les deux autres paints pots de ma collection pouvant s’associer avec « Perky » leurs couleurs étant soit complémentaires soit dans la même famille de couleurs. 


On trouve le « Rubenesque » un pèche doré au rendu irisé pouvant réveiller « Perky » par sa texture plus lumineuse ainsi que pour l’aspect rosé aux sous tons pêche qu’ils partagent. L’autre paint pot est « Let’s skate » un rose beaucoup plus froid que « Perky » mais constellé de fines paillettes dorées lui permettant de l’illuminer. 


Toujours afin que vous puissiez vous faire une idée fidèle du rendu de « Perky » et de son utilisation au quotidien j’ai réalisé trois maquillages simples et rapides à travailler. Le premier et bien sûr celui que j’aime porter le plus souvent est constitué de « Perky » sur l’ensemble de la paupière mobile puis de l’ajout d’un fard aubergine irisé en coin externe et en creux. C’est l’association la plus classique mais la plus facile à réaliser dans la tendance des yeux rosés et doux. 


Si vous souhaitez apporter un peu de lumière à « Perky » vous pouvez sans aucun problème ajouter une touche de doré dans le coin externe. J’ai personnellement appliqué au doigt puis estompé au pinceau le paint pot « Rubenesque » de Mac présenté un peu plus haut. 


Enfin pour trancher avec la teinte rose sans créer un contraste trop fort vous pouvez également ajouter un fard taupe en coin externe. J’ai ici appliqué « Satin taupe » de Mac dans le coin externe puis déposé en très légère quantité le fard champagne rosé « All that glitters » toujours de chez mac à la jonction entre le paint pot et « Satin taupe » pour apporter de la lumière et harmoniser le tout. 


« Perky » est finalement passé de bonne surprise à bon petit indispensable dans la famille des produits pour les yeux et maquillages rosés. C’est l’outil idéal pour renforcer des teintes allant du rose au violet en passant par des taupes légèrement grisés. Facile et rapide à travailler il n’alourdit pas le regard et pourra peut-être convaincre les plus sceptiques… mais ceci c’est à vous de me le dire !

Son prix : 19€