29.10.15

La parfaite trilogie d’Halloween ? Découvrez "Miss Peregrine et les enfants particuliers"

Comment décrire simplement l’histoire et la particularité de la trilogie Miss Peregrine et les enfants particuliers ? Un thriller ? Un roman horrifique ? La lecture parfaite d’Halloween ? Ce sont en réalité des couvertures étranges et légèrement effrayantes, un récit mystérieux et fascinant, une intrigue surprenante et addictive. En somme un sacré coup de cœur pour un livre unique et que vous devez de tout urgence découvrir…


Alors hormis cette aura très particulière, que raconte ce livre ? C’est le parcours de Jacob un jeune adulte qui confronté au décès brutal de son grand-père va chercher a retracer le passé de ce dernier pour percer les mystères de sa mort. Pour cela il va devoir explorer le pensionnaire de Miss Peregrine au fin fond du pays de Galles ; un lieu bien connu de ses souvenirs lorsque son grand-père lui contait son enfance entre ces murs et auprès des enfants aux dons particuliers avec lesquels il était ami. Alors quels sont les monstres dont il lui parlait tant ? Qui étaient vraiment ces enfants ? Que se passait-il sur cette île ? 



C’est en évoluant au travers de photos, quelques lettres manuscrites et autres indices greffés au texte que l’intrigue se dévoile et nous révèle ses secrets. Ce qu’il faut savoir avant d’entrer de plein pied dans ce roman c’est que l’auteur fasciné par ceux que l’on désignait autrefois comme des « monstres de foire » au cours du XIX et du XXe siècle a recueilli des clichés au fil de brocantes et de marchés au puces créant l’aventure de Jacob et de son grand-père autour d’elles conférant au tout cette ambiance si unique et parfois « creepy ».  Parce que les visages que l’on croise au fil de l’histoire on bel et bien existé… Mais rassurez-vous rien de traumatisant pour autant simplement une idée brillante et délicieusement envoûtante. 




En plus de l’aspect en partie authentique du roman j’ai apprécié que l’histoire soit vécue du point de vue d’un garçon. Souvent féminines (et c’est loin d’être une critique) les héroïnes de livres pour jeunes adultes tendent à se ressembler (dystopies majoritairement) dans leur réactions et les parcours dessinés par leurs auteurs.  Les attentes et le recul du personnage ne sont ici pas nécessairement les mêmes selon des typologies d’événements connus et c’était assez chouette de mon avis d’avoir un héros un peu différent. 


J’ai trouvé la lecture fluide même si très riche en rebondissements et j’ai énormément apprécié les touches d’humour glissées ici et là au fil du récit. Le personnage de Jacob est vraiment agréable à suivre et on ne se lasse pas de son point de vue et des situations dans lesquelles il évolue. Même si j’ai pu deviner quelques éléments de l’histoire l’ensemble est vraiment original et divertissant, l’univers créé par Ransom Riggs est efficace et laisse des traces dans notre mémoire. Même après plusieurs semaines, Miss Peregrine, les enfants particuliers et Jacob continuent d’accompagner le fil de mes pensées et de mes questionnements. 

En résumé je vous recommande plus que chaudement cette trilogie à la fois différente et addictive, à l'univers unique et au passé particulier. 

Traduits en français les deux premiers tomes sont disponibles en librairie tandis que le dernier opus vient tout juste de paraître en anglais. Et si je n’avais pas encore réussi à convaincre certains d’entre vous l’adaptation du premier livre au cinéma par Tim Burton est prévue pour l’an prochain, un programme plutôt sympathique pour une trilogie hors du commun. 

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27.10.15

Automne veloute sur mes levres avec Riot de Lime Crime


Marsala, velours, Lime Crime, il n’en fallait pas plus pour me convaincre d’adopter le magnifique « Riot » de la marque californienne. Après avoir lorgné dessus pendant des mois sur les réseaux sociaux et le site de la marque j’ai profité d’une journée spéciale lors de laquelle les frais de ports étaient offerts (10$ quand même) pour m’en emparer. Et depuis il est devenu l’un de mes basiques. 


C’est simple sa teinte à la fois bien pigmentée et l’air de rien bien moins discrète qu’un nude reste douce et passe partout. J’ai pu l’utiliser pour tout types d’occasions : complimenter un maquillage coloré, adopter un look rétro, raviver un look plus discret. Ce rouge plutôt marronné complimente la plupart des carnations et apporte ce je ne sais quoi vintage légèrement seventies. Sans oublier l’aspect mat et la tenue sans faille des velvetines c’est définitivement l’un des indispensables de ma trousse de maquillage.



Comme toujours les produits de la marque sont très faciles et rapides à utiliser à l’aide de cette texture liquide qui sèche en quelques secondes et l’embout précis et rond pour des tracés précis. Evidemment je recommande aux novices comme aux habituées de bien définir leur contour de lèvres avant toute chose afin éviter les impairs puisque le produit sèche vraiment très vite.  En cas d’erreur un démaquillant « gras » sera votre meilleur ami.



Encore une fois les velvetines me séduisent et envahissent une bonne fois pour toutes mes tiroirs ! Quelques nouveautés de cet automne me font d’ailleurs de l’œil mais je vais devoir attendre que mon porte monnaie se remplisse pour en profiter ! Vous retrouverez toutes ces merveilles sur le site de Lime Crime pour la modique somme de 18,15€. En attendant je court me cacher afin d’éviter vos regards accusateurs ! 




25.10.15

Dorothy must die : il etait une fois une dictature macabre au pays d’Oz


On ne peut pas dire que je sois une grande fan du magicien d’Oz pour la simple et bonne raison que je n’ai ni lu le livre ni vu le film. Je connais l’histoire en substance et en fonction des vagues souvenirs d’enfance sur le sujet…et pourtant ça ne m’a pas empêchée d’adorer voire d’encenser sa réécriture macabre « Dorothy must Die ».  Si je devais peindre l’ambiance du roman en quelques mots je vous décrirais un mélange entre un univers esthétique proche de Tim Burton avec ses couleurs vives et ses passages beaucoup plus glauques couplé à un monde soumis à une dictature aussi puérile que cruelle.  

Mais comment un univers pourtant si beau et si enchanteur a-t-il pu se transformer de la sorte ? Pour le savoir vous allez devoir suivre le parcours d’Amy Gumm jeune lycéenne de son état. Pas la plus populaire du bahut à cause de ses moyens limités elle est régulièrement la cible des « means girls » du coin faisant ainsi régulièrement état de présence dans le bureau de son proviseur. Pas aidée par sa famille son père est inexistant et sa mère plus accro aux cachets contre la douleur qu’à sa propre fille. C’est ainsi qu’un soir une tornade frappe la ville et que le mobil-home d’Amy décide d’aller rendre visite aux nuages embarquant la jeune fille avec lui. C’est dans ces circonstances qu’elle déboule au pays d’Oz avec la ferme intention de le quitter. 


Sauf que le pays d’Oz n’a plus rien de son aura d’antan, projetée dans un paysage de ruines, un ciel pas des plus engageants et des champs ravagés tout autour Amy prend rapidement conscience que les choses ont changé. Bravant la méfiance des habitants terrifiés elle apprend assez vite que Dorothy est revenue de son Kansas natal pour s’emparer de toute la magie d’Oz faisant régner terreur et malheurs sur quiconque s’opposera a ses désirs. C’est ici que j’arrêterais de dévoiler l’intrigue puisque des tas d’évènements prennent place par la suite et que ce serait terrible de vous gâcher la surprise. C’est en sachant à peine dans quel type d’histoire j’allais plonger que j’ai commencé ce livre et je vous souhaite de le vivre ainsi également. 

Pourquoi un coup de cœur pareil pour « Dorothy must die » me direz-vous ? D’une part pour le personnage d’Amy qui malgré quelques aspects clichés parfois est une personnalité assez forte avec des convictions et un caractère bien trempé. Pour les versions complètement revisitées des personnages phares de l’histoire : Dorothy que l’on se prend à détester, pour l’épouvantail qui nous fait frissonner d’effroi pour la gentille sorcière Glinda si différente de nos souvenirs… 



Les descriptions, qui parfois peuvent lasser et gâcher un récit, sont ici parfaitement utilisées. Le pays d’Oz et ses changements nous apparaît très clairement et j’avais sincèrement l’impression pendant ma lecture d’évoluer dans les paysages que je lisais. Les mots devenaient des images. On perçoit les couleurs, les ambiances, les formes et les personnages comme s’ils étaient réels un peu à la façon de « Charlie à la chocolaterie » par Roald Dahl. Tout est perceptible, presque à portée de main

Enfin ce qui m’a définitivement convaincue c’est cette atmosphère sombre, lourde et macabre. Tout ce que l’on connaissait déjà a muté, s’est transformé d’une façon surprenante et souvent glauque, on ne sait jamais sur quelle surprise ou autre conséquence des idées terrifiantes de Dorothy on va tomber. Rien n’est sûr, le danger et les surprises sont omniprésents et c’est probablement cet état de tension qui m’a empêchée de quitter mon livre avant de ne l’avoir terminé. 



Alors si vous recherchez une lecture surprenante et différente de tout ce que vous avez lu avant c’est définitivement la trilogie « Dorothy must die » qu’il vous faut. Malheureusement pas encore traduit en français le livre est tout de même disponible (sans frais de port) chez The book depository pour 14,39€ ou sur la boutique Book Outlett à 4,43€. Enfin pour ceux qui auraient été séduis par ma chronique les droits du livres ont été achetés pour l’adaptation en tant que série donc vous avez encore une chance de vous confronter à l’univers de « Dorothy Must Die » ! 

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22.10.15

Quand Ikea devient un roman horrifique : Horrorstor par Grady Hendrix


Votre bibliothèque BILLY ne vous effraie pas ? Le meuble MALM ne serait-il pas en train de vous jeter des coups d’œil suspects ? Vous avez toujours pensé votre HELMER inoffensif ? Et bien détrompez-vous car vos meubles Ikea pourraient bien vous cacher un passé sombre et terrifiant. C’est en tout cas ce que l’on vous propose dans l’étrange et mystérieux roman Horrorstor. Ressemblant comme deux gouttes d’eau à un catalogue Ikea cet ovni littéraire vous fera frissonner et regarder votre magasin suédois d’un œil nouveau. Découvert et lu en début d'année grâce à Booktube je me suis dit qu'à cette saison il méritait bien une petite présentation !


Quoi, comment, quand ? Horrostor c’est le mariage réussi entre un objet livre absolument génial et une histoire à suspense un poil horrifique. Dans ce récit vous vous trouverez dans la peau d’Amy une jeune femme qui faute de moyens pour vivre correctement a dû lâcher ses études pour se trouver un travail au plus vite et a atterri chez Orsk.  Orsk est bien évidemment l’alias de notre Ikea fictif ressemblant en tous points à l’univers que nous connaissons déjà : meubles en kits, prix abordables, chemin labyrinthique pour déambuler dans le magasin et noms de produits absolument imprononçables. Tout en évoluant dans un univers construit de toutes pièces le lecteur ressent une sensation de vécu et de déjà vu légèrement troublante. 



Sauf que voilà, tout ne se passe pas parfaitement bien dans l’univers du suédois… des meubles sont mystérieusement souillés et tâchés chaque soir sans que les caméras de surveillance ne puissent identifier les coupables de ces délits. Amy se voit donc contrainte par son responsable d’effectuer une petite garde de nuit légèrement officieuse afin de percer le mystère de ces sabotages. Et c’est là que tout va se gâter... Je n’en dirais bien évidemment pas davantage sur l’histoire car ce serait malgré tout gâcher un petit peu votre découverte. 



Si l’histoire en soit m’a plu et ne manque pas de rebondissements, j’ai tout de même davantage eu le coup de cœur pour le concept et l’objet livre. Tout est fait pour nous plonger dans l’univers d’Orsk et nous donner l’impression que le livre que nous tenons dans nos mains et bel et bien le catalogue d’une enseigne nous étant plus que familière. Plan du magasin et catégories d’articles commercialisés, bons de commande, conditions générales de vente, mise en avant de produits à chaque chapitre. J’ai adoré avoir l’impression de redécouvrir ce lieu culte et son marketing que nous connaissons si bien dans sa version détournée et horrifique.



Je sais bien qu’il ne faut pas s’arrêter à la couverture d’un livre mais c’est ici l’un des points fort d’Horrostor. Tout est travaillé pour troubler le lecteur et son entourage, la première de couverture ressemblant à s’y méprendre à un catalogue Ikea tandis que sa quatrième révèle la part sombre et effrayante du récit. Plusieurs passagers du métro m’ont sans doute prise pour une accro du suédois en train de consulter leur catalogue et des proches m’ont demandé ce que je fichais avec un catalogue Ikea, bref ce livre interpelle et c’est aussi cela qui m’a plût. 

Pour la découverte d’un ouvrage pas banal, pour la lecture d’un récit bien de saison (Halloween est si proche !), pour vous faire peur lors de votre prochain voyage chez Ikea… Je vous recommande chaudement d’acquérir Horrorstor ! 

Disponible chez Milan et Demi au prix de 19€

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18.10.15

"Encore à Disneyland ?" - Pourquoi j’y retournerais quand même : conseils et avis


Disneyland, aussi loin que je m’en souvienne j’y suis toujours allée, ma mère m’y a même emmenée pour l’ouverture du parc en 1992 (ça commence à dater). Du coup l’alchimie entre moi et Walt s’est immédiatement créée et j’ai succombé au charme de l’univers Disney dès mes premières années. Films, livres, dessins animées, jouets, peluches, visites annuelles dans le parc j’ai tout eu. Alors avec le temps et n’habitant plus en région parisienne chaque perspective de me rendre dans le pays de Mickey me rendait limite hystérique, au bord de la crise respiratoire : une vraie groupie en somme. Le pire étant ma très récente et dévastatrice addiction pour les Tsum Tsum ces adorables peluches aussi nombreuses que mignonnes, mais ceci n’est pas l’objet de l’article, passons. 




Contredisons donc ensemble les phrases auxquelles vous aurez sans doute l’habitude si Disneyland Paris s’apparente pour vous à l’un de vos loisirs les plus classique du dimanche (ou presque, faut pas déconner quand même les billets de train c’est pas toujours donné) : 

« Mais à ton âge tu ne devrais pas être passée à autre chose ? »
« C’est pour les enfants ! » 

Je vais vous dire que j’ai gardé mon âme d’enfant mais ce serait trop facile. L’une des raisons pour lesquelles je ne supporte pas cette affirmation c’est parce que le fait de dépasser l’âge fatidique des 18ans ne reprogramme pas automatiquement nos émotions et notre personnalité. J’aime toujours regarder les classiques de Disney, les chansons me reviennent toujours aussi facilement en mémoire et quoi qu’on en fasse mon imagination et ma soif de nouveaux univers sont plus grandes de jours en jours. Alors avoir la possibilité de plonger dans un univers complètement décoré et animé de façon a nous faire sortir de la réalité un instant… je trouve ça absolument génial. Certes il faut aimer le rose pour vivre dans Fantasyland mais je trouve ça dingue d’oublier pendant une journée que l’on se trouve en région parisienne et personnellement à 500km de chez moi. Rares sont les lieux à pouvoir vous faire perdre le fil du temps et c’est ce sentiment qui me fera revenir inlassablement dans le parc. 




 « C’est toujours blindé et on fait la queue toute la journée » 

C’est vrai. Pendant les grandes vacances, les semaines de vacances scolaires et les weekends précédant Noël. Si vous vous y risquez pendant ces périodes vous ne profiterez pas au maximum du parc et de ses attractions, vous passerez pas mal de temps dans les files d’attentes et croiserez plus de nationalités que de pays visités. Mais je me suis personnellement toujours arrangée pour m’y rendre en semaine, pendant les périodes creuses et rarement pendant les semaines les plus chargées. Vous me direz que ce n’est pas toujours possible de s’arranger de la sorte avec le boulot (j’avoue je pose des RTT pour Disney, oui j’assume), les enfants (quoi ? vous n’osez pas leur faire manquer l’école pour Mickey ? Parents indignes ! briseurs de rêves !), vos potes / votre amoureux(se) (pas de bol). Je comprends, mais qu’on ne vienne plus me dire que Disney sans personne c’est une légende car croyez moi faire quatre fois de suite le train de la mine et indiana jones dans une même journée c’est possible (même si c’est dangereux). 





« C’est une machine a fric »
« C’est beaucoup trop cher pour ce que c’est ! » 

Ah je ne nierais pas que Walt ne lésine pas sur les moyens pour nous faire participer à l’enrichissement de son empire partout où il le peut. Les boutiques ne manquent pas, un paquet de chips avoisinera facilement les 4€ et les concepteurs des attractions aiment bien vous faire finir votre parcours assez vicieusement dans un boutique à thème. Sans oublier le prix du billet d’entrée qui avouons-le n’est pas donné, presque quatre-vingt dix euros pour visiter les deux parcs c’est pas une somme que j’envisagerai de donner aussi facilement. Mais rassurez-vous il existe d’autres options ! C’est pourquoi j’ai opté pour le passeport annuel pas donné au début (surtout le Dream) mais très vite rentabilisé si comme moi vous aimez (beaucoup) l’univers Disney, sans compter les réductions dans les boutiques, restaurant, parking... Passé deux visites dans l’année c’est bon vous avez amorti le coût de votre pass, autant vous dire que depuis mars j’y suis bien allée 5 ou 6 fois. Pour ceux qui ne sont pas aussi fans, les ventes privées, places au prix CE et offres spéciales ne manquent pas ! Alors oui Mickey n’est pas facile en affaires mais il est possible de le duper :) 




« Les attractions sont souvent en panne »

S’il y a un point sur lequel j’aurais du mal à trouver des arguments béton c’est celui-ci car en effet le train de la mine a pour tradition de planter deux à trois fois dans une journée, c’est pénible mais c’est en général vite remis. Alors il y a des journées ou tout se passe bien et d’autres ou pas de chances nos attractions ont un peu plus de mal, j’admets que c’est pas très agréable surtout quand on a pas l’occasion de venir régulièrement et qu’en plus on a payé sa place au prix fort. Avec le pass j’ai un peu plus de recul là dessus et j’essaye de faire contre mauvaise fortune bon cœur en profitant simplement de l’univers, du décor et des lands. Pas mal d’attractions cultes vont être rénovation très prochainement alors si je peux vous donner un conseil c’est de vous renseigner sur le site pour vérifier lesquelles seront ouvertes avant de programmer votre séjour. 



Alors je vous rassure tout de suite je ne bosse par pour le parc ou la marque mais du haut de mes vingt-cinq ans (quand même) j’avais envie de rendre un petit hommage (rien que ça) à cet endroit qui est la source de pas mal de souvenir d’enfances et de ma vie d’adulte et dans lequel j’ai toujours pris plaisir à venir. Donc si j’ai pu vous donner quelques conseils utiles pour vos prochains séjours j’en suis ravie ! Mickey t’as beau être un objet culte du capitalisme pas toujours très clean et honnête j’aime quand même ton par cet ton univers un poil lobotomisant. Cœurs sur toi.